Zsölt Liszt "Le Fossoyeur"

Le 05 Avril 1440, en direction de Bran

Cher Journal,

Afin de ne pas sombré totalement dans la "folie" il est nécessaire pour moi de me confié,. évidemment je ne peu le faire avec un individu , c'est pourquoi je me met à l'écrit. D'une part cela me permet de me vider l'esprit tout en me confiant sur mon histoire sans avoir à me soucié de la réaction d'un quelconque interlocuteur. Mais de plus les écrit restent dans l'histoire et un jour quelqu'un tombera sur mes récits. Sur les récits du sombre Fossoyeur de Gyula.

Pour commencer mon histoire je vous embarque dans mon enfance. Je n'ai pas eu l'occasion de connaître mon père, en effet d'après les dires de mère, à mes quatre ans celui-ci nous auraient tout deux chasser du foyer pour une raison qui m'échappe. Avec le recul je me suis bien sûr rendu compte que mère m'avait menti. Comment pourrai je la croire ? Élisabeth Liszt était une belle femme pleine de ressources, malheureusement elle avait une sorte de "maladie" qui chaque jour pendant un certains temps la poussé dans une paranoïa aiguë. En effet mère s'imaginer qu'un démon voulait nous attrapée tout deux et que pour être à l'abri il fallait nous rendre en Transylvanie, plus précisément au village de Bran. Nous avions donc une vie mouvementée. Il n'y avait donc pas un jour ou nous restions à un endroit précis, non ! "Il faut nous rendre à Bran, nous serons en sécurité la bas !".

Pour information je serais née à Szombathely en Hongrie, non loin de la frontière Autrichienne. Nous serions parti de la après le renvoi de père pour traversée mon pays en direction de la Roumanie, tout ça car une hallucination dicté à ma mère qu'il fallait se rendre dans un village de Transylvanie dont je n'avais jamais entendu parler ! Durant se voyage de vagabond mère proposait ses services auprès de diverses professions afin de nous récolté de quoi nous ravitailler. Je préfère de pas détaillé les services parfois qu'elle proposer pour un vulgaire morceau de pain ...

Quelques années plus tard avec le train de vie inchangé, nous sommes arrivé à Gyula, un petit village hongrois avec un château situé au cœur du lieu. Elizabeth était fatigué, la maladie la rongés petit à petit. Il était évident qu'un voyage de plus aurait raison d'elle. Étant devenu un jeune homme il était hors de question de poursuivre notre voyage pour la Transylvanie. Toutes ces histoires de démon qui nous poursuivait était absurde ! Afin de subvenir aux besoins médicaux de mère j'ai fais la rencontre la plus importante de mon récit, celle du Père Helias. Un vieux prêtre qui cherché un apprentis pouvant le suppléer concernant certaines tâches. En effet Père Helias prêcher la bonne parole le jour mais il faisait office de fossoyeur la nuit tombée. Je me suis donc mis au service de cet homme.

Creusé des tombes et confectionné des cercueils n'avait rien de compliqué pour un homme ayant vagabonder toute sa jeunesse. Père Helias me dicté ou me rendre afin d'exercer ma profession, tandis qu'il rendait un dernier hommage au défunt auprès de sa famille, moi je creusé une tombe au cimetière du village (quand il s'agissait d'un noble) pour l'y enterrer. Chose pratique quand on a pas d'expérience, personne ne pouvait voir la manière avec laquelle je les enterré... De plus il est marrant de savoir que malgré la raideur d'un macchabée il est aisé de l'enterrer dans un trou bien plus petit par rapport à son gabarit en s'aidant des articulations de celui-ci. Ça me rappel mon premier corps d'ailleur ! Drôle de souvenir. Il s'agissait du forgeron un grand gaillard, jamais je n'avais vu un homme aussi grand et musclé ! De par son poid et sa taille, pour le traîner jusqu'à sa tombe il m'aura fallu découpé le corps du défunt en plusieurs partie... Lorsque Père Helias à vu mon travail, je me suis pris une sacrée trempe ! "Qu'elle honte ! Tu te rend compte !? Je ... Part et ne reviens plus ! Je ne peux accepté ça !" Le vieux fou... Pourquoi hurler alors que l'homme était déjà mort !? Partir ? Je n'ai nul part ou me rendre de plus j'ai besoin des revenus de cette profession pour payé le médecin s'occupant de mère ! Malgré mes explications le Père Helias me répèta de partir du cimetière puis il me tourna le dos pour commencer à reboucher la tombe à l'aide d'une pelle. Repensant à mère j'ai arracher de force l'outil des mains du vieux prêtre, pour lui assainer un coup au visage qui eu pour effet de le faire trébucher dans la tombe du forgeron. Malgré ces gémissements de douleurs j'ai enterré "l'imprudent" vivant au côté du forgeron. 


Le surlendemain je me suis rendu à la garde du village afin de les alerté sur la disparition du vieux prêtre, prétextant mon inquiétude à se sujet. Malgré leurs enquête, le Père Helias avait disparu à jamais. Étant donner que celui-ci n'avait pas de proche et que j'étais son apprenti, je fus nommé par le maire en personne comme étant le Fossoyeur officiel de Gyula. Les jours passèrent et je travaillé sous un rythme effréné, en effet plus je m'occuper de défunt plus ma bourse augmenter ! J'étais tellement devenu avide d'argent qu'un beau jour un des hommes que j'étais en train de recouvrir de terre à ouvert les yeux en criant, observant que personne rôder dans les alentours, je lui est mis un coup de pelle au visage le renvoyant au pays des songes pour continuer ma tâche. Comme je l'ai précisé l'argent était important pour moi, ou bien était-ce autre chose ?

Vous n'imaginez pas le nombre de corps enterré de cette manière. L'épanouissement était présent dans mon travail, j'avais trouvé enfin un endroit où vivre. Malheureusement un drame fit son apparition avec le décès de mère... Élisabeth Liszt était morte dans le cabinet du médecin que je payer pourtant chaque jour pour s'occuper d'elle ! Je me suis occupée de son corps avec le plus grand soins, à chaque coup de pelle pour l'enterrer je me voyais en train de creuser celle du médecin. Un soir alors que tout le village fêter le mariage du Prince Ladislas de Gyula, j'ai profité du tumulte pour rendre visite au médecin. Le ton est monté et une bagarre à éclater, j'ai réussi à prendre le dessus en le surprenant je pense, poussé par ma haine. Je l'ai étranglé pour ensuite le porter jusqu'à la rivière Fehér-Körös et le jeté dans celle-ci.

Le lendemain j'ai étais réveillé par la garde du village. Apparemment une personne m'aurait vu rentrer dans le cabinet du médecin. J'ai eu le droit à un long interrogatoire, bien sûr je n'ai rien dit hormis que j'avais rendu visite au médecin pour le remercier d'avoir essayé de guérir mère... Les gardes n'étaient pas des idiots, ils n'avaient pas crû mon histoire mais fautes de preuves ils m'ont relâcher, m'interdisant cependant de quitter le village. Évidemment j'ai ignorer l'ordre en fuyant le village à la nuit tombé, après tout ça n'était qu'une question de temps avant que la garde du village ne commence la fouille des tombes. À la sortie du village je suis tomber sur une calèche arrêter, le cavalier était un homme vêtu d'une longue cape noir, il avait un teint étrangement blanc. Il me toisa du regard pour finalement me lâché un sourire sadique "Que diriez vous d'un voyage gratuit jusqu'à Bran mon seigneur ?" Bran ? Peu importe je devais fuir et loin. Traversé la frontière était la meilleure des solutions !

Me voilà donc en chemin pour Bran. C'est "amusant", mère ne me cessé de dire qu'il fallait fuir pour se village et voilà qu'une calèche m'y emmène et tout ça gratuitement ! Cependant un sentiment étrange me parcourt l'échine, plus le temps passe et me rapproche de ma destination plus une sensation de malaise augmente. Peu importe je me rassure en me disant que Bran aura certainement besoin d'un fossoyeur comme moi...